Fédération pour une Démocratie Radicale (FDR) : Différence entre versions

De France Politique
Ligne 34 : Ligne 34 :
 
|-
 
|-
 
|valign="top" align="right"|'''1979'''<br>12-13/10
 
|valign="top" align="right"|'''1979'''<br>12-13/10
|valign="top" align="left"|Congrès du [[Parti Radical (PRAD)|Parti Radical]]: la [[Fédération pour une Démocratie Radicale (FDR)]] en devient un mouvement associé<ref>L'accord est signé par Didier Bariani (président du [[Parti Radical (PRAD)|Parti Radical]]), Jean-Pierre Prouteau (premier vice-président du [[Parti Radical (PRAD)|Parti Radical]]), Guy Gennesseaux (président de la [[Fédération pour une Démocratie Radicale (FDR)|Fédération pour une Démocratie Radicale]], Manuel Diaz ([[Fédération pour une Démocratie Radicale (FDR)|FDR]]), Michel Soulié ([[Fédération pour une Démocratie Radicale (FDR)|FDR]]) et Sampiero Quilici ([[Fédération pour une Démocratie Radicale (FDR)|FDR]]).
+
|valign="top" align="left"|Congrès du [[Parti Radical (PRAD)|Parti Radical]]: la [[Fédération pour une Démocratie Radicale (FDR)]] en devient un mouvement associé<ref>L'accord est signé par Didier Bariani (président du [[Parti Radical (PRAD)|Parti Radical]]), Jean-Pierre Prouteau (premier vice-président du [[Parti Radical (PRAD)|Parti Radical]]), Guy Gennesseaux (président de la [[Fédération pour une Démocratie Radicale (FDR)|Fédération pour une Démocratie Radicale]], Manuel Diaz ([[Fédération pour une Démocratie Radicale (FDR)|FDR]]), Michel Soulié ([[Fédération pour une Démocratie Radicale (FDR)|FDR]]) et Sampiero Quilici ([[Fédération pour une Démocratie Radicale (FDR)|FDR]]).</ref>
 
|-
 
|-
 
|valign="top" align="right"|'''1979'''<br>31/03
 
|valign="top" align="right"|'''1979'''<br>31/03

Version du 18 août 2015 à 13:45

Période 1978-1982
Nom Fédération pour une Démocratie Radicale (FDR)
Positionnement Gauche
Idéologie
Coalition électorale
Affiliation internationale
Affiliation européenne
Parlement européen
Site Internet


Chronologie

Date Évènement
1982
??/06
Guy Gennesseaux et Michel Grossmann fondent le Parti Démocrate Français (PDF).
1979
12-13/10
Congrès du Parti Radical: la Fédération pour une Démocratie Radicale (FDR) en devient un mouvement associé[1]
1979
31/03
Réunion à Paris des "états généraux pour une Europe fédérale" dans la perspective de former une liste conduite par Robert Fabre aux élections européennes de 1979[2]:
  • Fédération pour une Démocratie Radicale (FDR) et son Union nouvelle pour une Europe de progrès (UNEP)
  • Fédération des Socialistes Démocrates (FSD) et son Centre d'étude pour une Europe fédérale et social-démocrate
  • Union démocratique européenne et sociale (scission de la Démocratie Chrétienne Française)
  • Mouvement fédéraliste européen
  • Amitiés radicales
  • Association des militants radicaux de gauche pour une liste radicale autonome aux élections européennes
  • Europe 2000
1978
14/10
Création de la Fédération pour une Démocratie Radicale (FDR) par l'aile pro-Robert Fabre (anti-Michel Crépeau) du Mouvement des Radicaux de Gauche (MRG)[3]:
  • Manuel Diaz, maire de Millau
  • Pierre Braque, conseiller de Paris
  • Guy Gennesseaux, conseiller de Paris
  • Patrice Gassenbach
  • Claude Catesson
  • Jacqueline Thome-Patenôtre, ancien ministre, maire de Rambouillet
  • Michel Soulié, ancien ministre
  • Michel Grossmann, adjoint au maire de Saint-Étienne
  • Jean-Maurice Duval, ex-président du Mouvement des jeunes radicaux de gauche.
  • Initiative Républicaine et Socialiste (IRS): Léo Hamon (gaulliste de gauche)


  1. L'accord est signé par Didier Bariani (président du Parti Radical), Jean-Pierre Prouteau (premier vice-président du Parti Radical), Guy Gennesseaux (président de la Fédération pour une Démocratie Radicale, Manuel Diaz (FDR), Michel Soulié (FDR) et Sampiero Quilici (FDR).
  2. Les négociations achopperont sur la question de la présence de Jean-Jacques Servan-Schreiber, qui conduira finalement sa propre liste.
  3. Jacques Maroselli, candidat malheureux face à Michel Crépeau, lance par ailleurs en interne un "comité de vigilance".


Tous droits réservés Laurent de Boissieu pour France-politique.fr