Les Francistes - Front National Ouvrier-Paysan (FFNOP)

De France Politique
Période 1930-1934
Nom 1933
1931
1930
Les Francistes - Front National Ouvrier et Paysan (FFNOP)
Ligue Nationale-Populaire (LNP)
Parti National-Populaire Français Antijuif (PNPFA)
Positionnement Extrême droite
Idéologie
Coalition électorale
Affiliation internationale
Affiliation européenne
Parlement européen
Site Internet


Chronologie

Date Évènement
1934
00/11
Autodissolution du parti Les Francistes. La Libre Parole Populaire redevient La Libre Parole.
1933
02/09
Création de La jeunesse sportive franciste. Objet: "Conservation de la race française par les sports".
1933
26/08
Devient Les Francistes, qui se revendique "autoritaire, corporatif et anti-judéo-maçonnique"[1], partiellement issue de la Ligue Nationale-Populaire (LNP). Objet: "Sauvegarde de la race et de la civilisation française". Devise: "La France aux Français!". Parallèlement, La Libre Parole devient La Libre Parole Populaire. Comité directeur:
1931
??/10
S'élargit aux Lyonnais de L'Union Française (Étienne de Raulin)[3] et devient la Ligue Nationale-Populaire (LNP):
  • Étienne de Raulin (ex-Action Française)
  • Maurice-Christian Dubernard
  • Jacques Ploncard (secrétaire général des Comités nationalistes de la Seine)
  • Henry Coston
  • Armand Bernardini (ex-Action Française, président des Comités nationalistes de la Seine)
1931
08/01
Décès de Jules Molle. Deux membres des Unions latines lui succéderont à la mairie (son ancien premier adjoint Paul Ménudier[4]) et à l'Assemblée nationale (Michel Parès).
1930
00/10
Reparution de La Libre Parole (Henry Coston).
1930
??/09
Création du Parti National-Populaire Français Antijuif (PNPFA) par Jules Molle - député, maire d'Oran et directeur du Petit Oranais - avec Maurice-Christian Dubernard (secrétaire général), Jacques Ploncard (ancien directeur de La Lutte Nationaliste, ex-Action Française), Henry Coston. Organe: L'Indépendance Française.
1928
22/04
Jules Molle élu député.
1925
05/05
Jules Molle élu maire d'Oran.
1924
??/05
Le docteur Jules Molle, conseiller général, fonde à Oran les Unions latines (ou Ligue latine[5]) afin de "défendre les citoyens de race latine contre les visées politiques du bloc électoral israélite".


  1. La Libre Parole, n°10, octobre 1933.
  2. Pseudonyme de Maria Rosaria Dupont, épouse d'Henry Coston.
  3. De septembre 1928 à février 1929, L'Union Française fut le bulletin de liaison des Jeunesses Patriotes (JP) de la région lyonnaise.
  4. Qui formerai en mai 1935 un Parti national antijuif
  5. À ne pas confondre avec la Ligue d'Union latine de Raoul Follereau.


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