Fédération pour une Démocratie Radicale (FDR)

De France Politique
Période 1978-...
Nom Fédération pour une Démocratie Radicale (FDR)
Positionnement Gauche
Idéologie
Coalition électorale
Affiliation internationale
Affiliation européenne
Parlement européen
Site Internet


Chronologie

Date Évènement
1982
??/06
Guy Gennesseaux et Michel Grossmann fondent le Parti Démocrate Français (PDF).
1979
13/10
Congrès du Parti Radical: Didier Bariani élu président. Sept membres de la Fédération pour une Démocratie Radicale (FDR) entrent au bureau national du parti.
1979
31/03
Réunion à Paris des "états généraux pour une Europe fédérale" dans la perspective de former une liste conduite par Robert Fabre aux élections européennes de 1979[1]:
  • Fédération pour une Démocratie Radicale (FDR)
  • Union nouvelle pour une Europe de progrès (UNEP), créée parallèlement à la Fédération pour une Démocratie Radicale (FDR)
  • Fédération des socialistes démocrates (scission du Parti Socialiste Démocrate)
  • Union démocratique européenne et sociale (scission de la Démocratie Chrétienne Française)
  • Mouvement fédéraliste européen
  • Amitiés radicales
  • Association des militants radicaux de gauche pour une liste radicale autonome aux élections européennes
  • Europe 2000
  • Centre d'étude pour une Europe fédérale et sociale démocrate
  • Gauche radicale socialiste
  • Club Jeunesse radicale
1978
14/10
Création de la Fédération pour une Démocratie Radicale (FDR) par l'aile pro-Robert Fabre (anti-Michel Crépeau) du Mouvement des Radicaux de Gauche (MRG)[2]:
  • Manuel Diaz, maire de Millau
  • Pierre Braque, conseiller de Paris
  • Guy Gennesseaux, conseiller de Paris
  • Patrice Gassenbach
  • Claude Catesson
  • Jacqueline Thome-Patenôtre, ancien ministre, maire de Rambouillet
  • Michel Soulié, ancien ministre
  • Michel Grossmann, adjoint au maire de Saint-Étienne
  • Initiative Républicaine et Socialiste (IRS): Léo Hamon (gaulliste de gauche)


  1. Les négociations achopperont sur la question de la présence de Jean-Jacques Servan-Schreiber, qui conduira finalement sa propre liste.
  2. Jacques Maroselli, candidat malheureux face à Michel Crépeau, lance par ailleurs en interne un "comité de vigilance".


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