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Fédération pour une Démocratie Radicale (FDR)

De France Politique
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Période 1978-1982
Nom Fédération pour une Démocratie Radicale (FDR)
Positionnement Gauche
Idéologie
Coalition électorale
Affiliation internationale
Affiliation européenne
Parlement européen
Site Internet


Chronologie

Date Évènement
1982
05/06
Guy Gennesseaux et Michel Grossmann fondent le Parti Démocrate Français (PDF).
1981
20-22/06
Congrès du Parti Radical: partisan d'un retrait de l'UDF, Guy Gennesseaux renonce à présenter sa candidature à la présidence contre Didier Bariani.
1988
24/04
-08/05
Guy Gennesseaux se met en congé du Parti Radical pour soutenir Jacques Chirac à l'élection présidentielle de 1981.
1979
14/10
Intègre le Parti Radical, dont Guy Gennesseaux devient vice-président[1].
1979
31/03
Réunion à Paris des "états généraux pour une Europe fédérale" dans la perspective de former une liste conduite par Robert Fabre aux élections européennes de 1979[2]:
1978
14/10
Création de la Fédération pour une Démocratie Radicale (FDR) par l'aile pro-Robert Fabre (anti-Michel Crépeau) du Mouvement des Radicaux de Gauche (MRG)[3]:
  • Manuel Diaz, maire de Millau
  • Pierre Braque, conseiller de Paris
  • Guy Gennesseaux, conseiller de Paris
  • Patrice Gassenbach
  • Claude Catesson
  • Jacqueline Thome-Patenôtre, ancien ministre, maire de Rambouillet
  • Michel Soulié, ancien ministre
  • Michel Grossmann, adjoint au maire de Saint-Étienne
  • Jean-Maurice Duval, ex-président du Mouvement des jeunes radicaux de gauche.
  • Initiative Républicaine et Socialiste (IRS): Léo Hamon (gaulliste de gauche)


  1. L'accord est signé à l'occasion du congrès du Parti Radical par Didier Bariani (président du Parti Radical), Jean-Pierre Prouteau (premier vice-président du Parti Radical), Guy Gennesseaux (président de la Fédération pour une Démocratie Radicale), Manuel Diaz (FDR), Michel Soulié (FDR) et Sampiero Quilici (FDR).
  2. Les négociations achopperont sur la question de la présence de Jean-Jacques Servan-Schreiber, qui conduira finalement sa propre liste.
  3. Jacques Maroselli, candidat malheureux face à Michel Crépeau, lance par ailleurs en interne un "comité de vigilance".


Tous droits réservés Laurent de Boissieu pour France-politique.fr