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* André Grisoni, président
 
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* Édouard Pfeiffer, vice-président
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* Casalis, vice-président
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Député: Gaston Gérard.
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Version actuelle en date du 3 mars 2019 à 19:33

Période 1936-∅
Nom 1938
1936 		Parti Radical Indépendant (PRI)
Parti Radical Français (PRF)
Positionnement Droite
Idéologie
Coalition électorale
Affiliation internationale
Affiliation européenne
Parlement européen
Site Internet


Chronologie

Date Évènement
1946
09/04 		Reconstitué, adhère au Rassemblement des Gauches Républicaines (RGR).
1938
05/11 		Congrès à Paris.
1938
12/02 		Congrès fondateur, sous la présidence d'Eugène Millies-Lacroix (sénateur des Landes), du Parti Radical Indépendant (PRI). Fusionne:
  • Parti Radical Français (PRF)
  • Parti Radical Indépendant (PRI)
  • Fédérations radicales indépendantes et radicales nationales de Paris, de la Seine et des départements

Organigramme:

  • Pierre Cathala (ancien ministre (ex-Parti Radical Unioniste), président
  • André Grisoni (ancien député, maire de Courbevoie), président
1937
25/06 		Déclaration au JO Associations du Parti Radical Indépendant (PRI). Objet: "Réunir tous les républicains qui veulent: le progrès et la justice dans l'ordre; l'organisation méthodique et complète de la défense nationale pour assurer la paix; le redressement total de la République dans l'union intégrale de la nation."
1936
10/12 		Conseil national.

Organigramme:

  • André Grisoni, président
  • Édouard Pfeiffer, président adjoint

Député: Gaston Gérard.

1936
05/11 		Annonce au JO Associations de la création du Parti Radical Français (PRF). Objet: "défendre une politique essentiellement radicale, nationale et sociale, dégagée de tonte influence extérieure, quelle qu'elle soit".
1936
01/07 		Annonce de la création du Parti Radical Français (PRF) .
1936
26/04
-03/05 		Hostiles à toute alliance avec la SFIC, Pierre Cathala et André Grisoni sont battus aux élections législatives de 1936.
1935
03/07 		Démission d'Édouard Pfeiffer du Parti Radical (PRAD) lorsque tous les autres membres du comité directeur approuvent la participation à la "manifestation unitaire" du 14 juillet organisée par le Comité national de lutte contre la guerre et le fascisme. L'ordre du jour alternatif d'Édouard Pfeiffer stipulait que "les radicaux entendent confondre dans une même réprobation le fascisme et le communisme"[1].
1934
06/02 		Démission d'André Grisoni du Parti Radical (PRAD).


Tous droits réservés Laurent de Boissieu pour France-politique.fr


  1. ↑ Jean Thomas Nordmann, Histoire des radicaux 1820-1973, La Table ronde, 1974, page 264.
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