Pegida France (PEGIDA) : Différence entre versions

De France Politique
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La manifestation non autorisée à Calais est en outre soutenue par:
 
La manifestation non autorisée à Calais est en outre soutenue par:
* collectif "Sauvons Calais": Kévin Reche (délégué du [[Le Parti de la France (PDF)|Parti de la France]] pour le Calaisis)
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* collectif "Sauvons Calais": Kévin Reche (également délégué du [[Le Parti de la France (PDF)|Parti de la France]] pour le Calaisis)
 
* collectif "Calais Idéoscope"<ref>Le collectif "Les Calaisiens en colère" a en revanche finalement renoncé à s'y associer en estimant qu'il ne partage "pas du tout l'idéologie" de Pegida.</ref>: Christophe Griffart
 
* collectif "Calais Idéoscope"<ref>Le collectif "Les Calaisiens en colère" a en revanche finalement renoncé à s'y associer en estimant qu'il ne partage "pas du tout l'idéologie" de Pegida.</ref>: Christophe Griffart
 
* collectif "Les patriotes en colère pour de bon"<ref name="gretten"></ref>: Edgar Gretten
 
* collectif "Les patriotes en colère pour de bon"<ref name="gretten"></ref>: Edgar Gretten

Version du 13 février 2016 à 21:23

Période 2015
Nom Pegida France (PEGIDA)
Positionnement Extrême droite
Idéologie Nationalisme
Coalition électorale
Affiliation internationale
Affiliation européenne
Parlement européen
Site Internet


Chronologie

Date Évènement
2016
06/02
Organisation en France de manifestations dans le cadre des "journées européennes Sauvons notre pays!" [1]:
  • Montpellier. Organisateur: Ligue du Midi (Richard Roudier)
  • Bordeaux. Organisateur: SIEL (Karim Ouchikh)
  • Saint-Brieuc. Organisateur: Résistance Républicaine (Christine Tasin) - manifestation non autorisée
  • Calais. Organisateur: Pegida France (Loïc Perdriel) - manifestation non autorisée

La manifestation non autorisée à Calais est en outre soutenue par:

  • collectif "Sauvons Calais": Kévin Reche (également délégué du Parti de la France pour le Calaisis)
  • collectif "Calais Idéoscope"[2]: Christophe Griffart
  • collectif "Les patriotes en colère pour de bon"[3]: Edgar Gretten
  • Cercle de Citoyens - Patriotes: général Christian Piquemal[4]
2016
23/01
Demande d'autorisation d'une manifestation à Calais le 6 février au nom de Pegida France et signée par Loïc Perdriel Pegida France, Jean-Philippe Jardin et Edgar Gretten (collectif "Les patriotes en colère pour de bon").
2016
16/01
Réunion à Paris, à huis-clos, des dirigeants de plusieurs mouvements en vue de la création d'une Confédération France Patriotes:
2016
15-16/01
Cagnotte sur Leetchi.com puis maraude pour des "sans domicile fixe de race blanche" (Diego Estéban Vilanueva, François Kirsch, Loïc Perdriel).
2015
08/11
Manifestation pour la "remigration" à Calais:
  • Pegida France (Loïc Perdriel)
  • collectif "Sauvons Calais" (Kévin Reche)
  • Parti de la France (Jean-François Vendeville, Kévin Reche)
  • collectif "Les patriotes en colère pour de bon"[3] (Edgar Gretten)
  • La dissidence française (Vincent Vauclin)
  • English Defence League (EDL)
  • Europa Rising[5]
2015
19/10
Déclaration au JO associations de Pegida France sur le modèle des Allemands du Patriotische Europäer gegen die Islamisierung des Abendlandes (Pegida). Objet: "Valoriser les anciennes cultures et traditions françaises". Président: Loïc Perdriel.


Tous droits réservés Laurent de Boissieu pour France-politique.fr


  1. En Allemagne: Pegida, au Royaume-Uni: English Defence League (EDL).
  2. Le collectif "Les Calaisiens en colère" a en revanche finalement renoncé à s'y associer en estimant qu'il ne partage "pas du tout l'idéologie" de Pegida.
  3. 3,0 et 3,1 Le collectif "Les patriotes en colère pour de bon" a pour photo de profil sur Facebook un "serment du patriote: je suis Français de race blanche, je suis chrétien et fier de l'être".
  4. Le général Christian Piquemal sera interpellé après les sommations de dispersion. Il avait par ailleurs auparavant pris la parole dans une salle autour des banderoles du Cercle de Citoyens - Patriotes et de Pegida France.(contacts pour la réunion: Edgar Gretten et François Baud).
  5. Europa Rising se présente ainsi: "Europeans and euro-descendants united against white genocide". Ses banderoles à Calais proclamaient "'Antiraciste' est un nom de code pour antiblanc" et "La 'diversité' est un nom de code pour le génocide des blancs".