Ordre Nouveau (ON) : Différence entre versions

De France Politique
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|valign="top" align="left"|Élections municipales<ref>La liste conduite par Henri Ravisse ([http://www.france-politique.fr/centre-national-des-independants-et-paysans.htm CNIP] en 1977) à Calais (17,62% des suffrages exprimés) est selon François Duprat - qui lui attribue un score de 22% des voix - "animée par Ordre Nouveau" (François Duprat, ''Les mouvements d'extrême droite en France depuis 1944'', Albatros, 1972).</ref>:
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|valign="top" align="left"|Élections municipales<ref>La liste conduite par Henri Ravisse ([http://www.france-politique.fr/centre-national-des-independants-et-paysans.htm CNIP] en 1977) à Calais (17,62% des suffrages exprimés) est revendiquée par Ordre nouveau en lui attribuant 22% des voix. Dans son ouvrage sur ''Les mouvements d'extrême droite en France depuis 1944'' (Albatros, 1972), François Duprat écrit également qu'elle est "animée par Ordre Nouveau".</ref>:
 
* Paris: 2,57% des suffrages exprimés
 
* Paris: 2,57% des suffrages exprimés
 
** Patrice Gélinet (1er secteur: arrondissements 1, 2, 3 et 4)
 
** Patrice Gélinet (1er secteur: arrondissements 1, 2, 3 et 4)
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** Bernard Lescrainier (14e secteur: 20e arrondissement)
 
** Bernard Lescrainier (14e secteur: 20e arrondissement)
 
* Lille (liste "Républicains nationaux" conduite par Patrick Masse): 2,09% des suffrages exprimés
 
* Lille (liste "Républicains nationaux" conduite par Patrick Masse): 2,09% des suffrages exprimés
* Calais
 
 
* Amiens (liste conduite par l'abbé Jacques Delay, soutenue par le CERPES<ref>Cercle d'Études, de Relations Publiques Économiques et Sociales (CERPES) de Bernard(-Henri) Lejeune.</ref> et [[Ordre Nouveau (ON)|ON]]): 7,39% des suffrages exprimés
 
* Amiens (liste conduite par l'abbé Jacques Delay, soutenue par le CERPES<ref>Cercle d'Études, de Relations Publiques Économiques et Sociales (CERPES) de Bernard(-Henri) Lejeune.</ref> et [[Ordre Nouveau (ON)|ON]]): 7,39% des suffrages exprimés
 
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Version du 27 décembre 2018 à 11:02

Période 1969-1973
Nom Ordre Nouveau (ON)
Positionnement extrême droite
Idéologie nationalisme
Coalition électorale
Affiliation internationale
Affiliation européenne
Parlement européen
Site Internet


Chronologie

Date Évènement
1973
Une partie des dirigeants d'ON quitte le Front National (FN): Alain Robert, François Brigneau...; ils se regroupent autour du "journal d'action nationaliste" (numéro 1 spécial été 1973) Faire Face puis Faire Front, avant de créer le Parti des Forces Nouvelles (PFN)
1973
28/06
Décret de dissolution d'Ordre Nouveau (et de la Ligue Communiste)
1973
21/06
Réunion publique "Halte à l'immigration sauvage" organisé par ON avec le soutien du FN; affrontements avec la Ligue Communiste
1973
09-11/06
3e congrès d'ON à Bagnolet ("Nous sommes la droite sociale, nationale et révolutionnaire"); opposition entre partisans et adversaires de la stratégie de Front National. Bureau politique:
  • Alain Robert (secrétaire général)
  • José Bruneau de La Salle
  • Christian Lefèvre
  • Jack Marchal
  • Jean-Marie Knittel
1973
27/04
L'Union des Lycéens Nationalistes (ULN)[1] devient Union et Défense des Lycéens (UDL). Secrétaire général: Yves Van Ghele.
1972
28/11
Hostiles à la stratégie de Front National, des dirigeants du Groupe Union et Défense (GUD; Patrice Janeau, Michel Bodin) quittent Ordre Nouveau puis participent à la création du Groupe Action Jeunesse (GAJ)
1972
13/10
Assemblée générale parisienne du Groupe Union Défense (GUD): élection d'un secrétariat général de deux membres (Bernard Houdin et Patrice Jeaneau) et d'un comité directeur de cinq membres.
1972
05/10
ON participe à la création du Front National, dont Alain Robert deviendra le secrétaire général et François Brigneau le vice-président
1972
30/09
-01/10
Conseil national d'Ordre Nouveau (ON): cooptation de Pascal Gauchon au conseil national.
1972
10-11/06
2e congrès d'Ordre Nouveau (ON).

Bureau politique :

  • Alain Robert (secrétaire général)
  • François Duprat
  • Hugues Leclère jusqu'en octobre 1972
  • José Bruneau de La Salle
  • Christian Lefèvre

Vote stratégique:

  • 78,9% (224 mandats) pour la participation aux élections législatives de 1973 au sein d'une structure plus large: le Front National
  • 18,3% (52 mandats) pour la participation aux élections législatives de 1973 sous l'étiquette Front National pour l'Ordre Nouveau
  • 02,8% (8 mandats) abstention

Hostiles à la stratégie de Front National, Jean-Claude Nourry quitte ON puis participe à la création du Groupe Action Jeunesse (GAJ)

1971
28/11
Élection législative partielle dans la 1re circonscription des Hautes-Alpes (Gap): 1,70% des suffrages exprimés (367 voix) pour Georges Chamboulive.
1971
29/10
Meeting à Lille.
1971
25/10
Manifestation interdite contre la venue de Léonid Brejnev en France, avenue des Champs-Élysées à Paris.
1971
13-15/10
Meetings contre la venue de Léonid Brejnev en France: François Brigneau, François Duprat, Gabriel Jeantet (13/10/1971: Hôtel de l'Industrie - 44, rue de Rennes 75006; 14/10/1971: salle Lancry - 10, rue de Lancry 75010). Interdiction de la manifestation prévue le 15/10/1971 à la faculté de droit d'Assas.
1971
??/07
Bureau politique[2]:
  • secrétaire général: Alain Robert
  • section I "Lutte contre l'État et le marxisme": François Duprat, assisté de Christian Lefèvre (responsable du service d’ordre)
  • section II "Organisation du parti": José Bruneau de la Salle, assisté de Roger Talbotier (région parisienne) et Alain Renault (province)
  • section III "Édification de l'État nouveau": Paul Léandri, assisté de Philippe Asselin (école des cadres)
1971
26-27/06
Séminaire politique. Réorganisation interne.
1971
13/05
Interdiction d'une manifestation anti-algérienne organisée par Georges Bidault.

Participants:

  • Mouvement pour la Justice et la Liberté (MJL): Georges Bidault
  • Association nationale des Français d'Afrique du Nord, d'Outre-mer et de leurs amis (ANFANOMA): colonel Pierre Battesti, ancien député
  • Rassemblement national des Français rapatriés d'Afrique du Nord et d'Outre-mer (RANFRAN): maître Jacques Vaysse-Tempé
  • Front national des rapatriés (FNR)-Région parisienne[3]: Claude Poli
  • L'Algérienne: colonel Pierre Furnari
  • maître Pierre-Émile Menuet
  • Union nationale des parachutistes (UNP): général Jean Gracieux
  • Cercle Saint-Michel: Michel Hamelin
  • Ordre Nouveau (ON)[4]
  • Mouvement Jeunes Révolution (MJR)
  • Étudiants de la Restauration Nationale
  • Parti de l'Unité Française (PUF): Yvan Anchier (ex-ARLP), Pierre Bousquet (ex-REL)
  • Comité de défense des libertés professionnelles: Raymond Le Bourre (ancien secrétaire général de l'ARLP)
1971
14-21/03
Élections municipales[5]:
  • Paris: 2,57% des suffrages exprimés
    • Patrice Gélinet (1er secteur: arrondissements 1, 2, 3 et 4)
    • Alain Roger Davy (2e secteur: arrondissements 5 et 6)
    • Louis Le Ricque (3e secteur: arrondissements 7 et 8)
    • Guy Godet (4e secteur: arrondissements 9 et 10)
    • François Duprat (5e secteur: 11e arrondissement)
    • Hilaire Chollet (6e secteur: 12er arrondissement)
    • Gisèle Alata (7e secteur: 13e arrondissement)
    • Roger Baconnet (8e secteur: 14ee arrondissement)
    • Michel Petit (9e secteur: 15e arrondissement)
    • Marguerite Jeantet (10e secteur: 16e arrondissement)
    • Paul Léandri (11e secteur: 17e arrondissement)
    • Jack Marchal (12 secteur: 18e arrondissement)
    • François Pissavy (13e secteur: 19e arrondissement)
    • Bernard Lescrainier (14e secteur: 20e arrondissement)
  • Lille (liste "Républicains nationaux" conduite par Patrick Masse): 2,09% des suffrages exprimés
  • Amiens (liste conduite par l'abbé Jacques Delay, soutenue par le CERPES[6] et ON): 7,39% des suffrages exprimés
1971
09/03
Meeting pour les élections municipales parisiennes au Palais des Sports.
1971
??/02
Exclusion de Jean-Claude Nourry. Bureau politique[2]:
  • Alain Robert
  • François Duprat
  • Paul Léandri
  • Gabriel Jeantet
  • Yann Beuzec (Pour une Jeune Europe)
  • Hugues Leclère
  • Emmanuel Allot (dit François Brigneau)
  • Claude Goasguen
  • Claude Joubert
  • Bernard Lescrainier
  • Gérard Longuet
  • Roger Talbotier
1970
18-19/12
Exposition anniversaire puis meeting à l'Hôtel de l'Industrie (44, rue de Rennes 75006).
1970
20/11
Inauguration des locaux 8, rue des Lombards à Paris 4e.
1970
??/10
Création des Groupes Union Défense (GUD) ou Groupes d'Union et de Défense (GUD) à l'initiative du Groupe Union Droit (GUD).
1970
20/09
Élection législative partielle dans la 2e circonscription de la Gironde (Bordeaux): 0,52% des suffrages exprimés pour Hugues Leclère.
1970
07/06
Élection législative partielle dans le 12e arrondissement de Paris: 3,13% des suffrages exprimés pour Jacqueline Rigaud (ex-ARLP)[7].
1970
??/06
Création de l'Union Générale des Travailleurs (UGT) afin d'organiser "des fractions nationalistes au sein des syndicats réformistes (CFTC, CGT-FO)".
1970
??/05
Nouveau bureau politique (septembre 1970)[8]:
  • Alain Robert
  • Jean-Claude Nourry
  • François Duprat
  • Paul Léandri
  • Gabriel Jeantet
  • Yann Beuzec (Pour une Jeune Europe)
1970
28/05
Démission de Jean-François Galvaire: "Je cesse aujourd'hui d'exercer toutes fonctions dans le mouvement Ordre nouveau. Mon départ est motivé par des raisons personnelles impérieuses. L'une d'elles, et non la moindre, est que je ne peux supporter les accusations d'antisémitisme et de nazisme injustement proférées et dont j'entends demander réparation en justice."
1970
14/05
1er congrès. Bureau politique[9]:
  • Jean-François Galvaire
  • Alain Robert
  • Jean-Claude Nourry
  • Marie-Françoise David
  • François Duprat
  • Gérard Ecorcheville
  • Patrick Mahé O’Chinal (Pour une Jeune Europe)
1970
13/05
Réunion publique unitaire "Pour un 13 mai nationaliste" organisée par Ordre Nouveau (ON):
  • Ordre Nouveau (ON): Jean-François Galvaire, Alain Robert
  • Action Nationaliste (AN): Jean-Gilles Malliarakis
  • Pour une Jeune Europe (PJE): Patrick ( (Patrig) Saint-Bertais
  • Défense de l'Occident: François Duprat
  • L'Élite Européenne: Philippe Asselin
  • Minute: François Birgneau
  • Rivarol: Camille Galic
1970
26/02
Interdiction du premier meeting ("Europe, libère-toi!") salle de la Mutualité, à Paris 5e.
1969
15/12
Déclaration au JO du Centre de recherche et de documentation pour l'avènement d'un ordre nouveau dans le domaine social, économique et culturel, dit Ordre Nouveau (ON). Bureau politique[2]
  • Jean-François Galvaire, animateur
  • Alain Robert, Paris
  • Jean-Claude Nourry, service d’ordre
  • Gérard Boulanger, organisation
  • Jacques Charasse, organisation
  • Marie-Françoise David, administration
  • Louis Battu, finances
  • Paul Léandri, documentation
  • Hugues Leclère, province
1969
10/12
Création d'Ordre Nouveau (ON)[10]; regroupe:


Sources

Dépouillement systématique:

  • Pour un Ordre nouveau (mensuel)
    • n°0, juin 1971, "Halte à l'anarchie. Régime responsable!"
    • n°1, juillet-août 1971, "Europe, libère-toi. Aujourd'hui l'Italie, demain le France! Victoire pour le MSI, victoire pour Ordre nouveau"
    • n°2, septembre 1971, "Leur France... celle des pourris! Notre France... celle du peuple!"
    • n°3, octobre 1971, numéro spécial, "Brejnev la peste, à la porte"
    • n°4, octobre 1971, "Il arrive l'immonde Brejnev, nous serons là pour l'accueillir!"
    • n°5, novembre 1971; "Combattre le communisme, avant qu'il ne soit trop tard"
    • n°6, décembre 1971, "Chômage, récession, scandales: ça continue! À quand la crise?"
    • n°7, janvier 1972, "Bonne année, messieurs les pourris!"
    • n°8, février 1972, "Chaban, tes impôts c'est le peuple qui les paie!"
    • n°9, mars 1972, "Face à la terreur rouge, avec nous avant qu'il ne soit trop tard"
    • n°10, avril 1972, "Leur Europe, nous n'en voulons pas"
    • n°11, mai 1972, "Halte à l'agression communiste au Viêt-Nam"
    • n°12, juin 1972, "Soutenons le peuple du Sud-Vietnam en lutte contre l'agression communiste! Les rouges ne passeront pas"
    • n°13, juillet-août 1972, "De pire en pire: Messmer! À bas le régime!"
    • n°14, 15 septembre-15 octobre 1972, "Sous Chaban les escrocs, sous Messmer les mao...aux" (couverture illisible)
    • n°15, 15 octobre-15 novembre 1972, "Avec nous, avant qu'il ne soit trop tard!"
    • n°16, 1er décembre 1972, "On veut tuer la presse de droite, défendons-la!"
    • n°17, janvier 1973, "L'union 'populaire' annonce les chars de Moscou, aidez-nous à vous défendre!"
    • n°18, avril 1973, "Et maintenant? Le pouvoir gagne les élections et perd les pédales. La pègre gauchiste veut refaire Mai 68"
    • n°19, mai 1973, "Exigeons la dissolution des bandes armées gauchistes!"
    • n°20, juin 1973, spécial congrès
  • Ordre nouveau Hebdo
    • n°1, 5-12 octobre 1972, "Front national: c'est maintenant ...ou jamais" (Ordre nouveau Hebdo)
    • n°2, 12-18 octobre 1972, "Proclamation officielle du Front national. L'unité est faite: traduisons-la dans les faits, immédiatement"
    • n°3, 19-25 octobre 1972, "Cette semaine, à Paris, le nouveau gadget de Pompidou"
    • n°4, 25 octobre-2 novembre 1972, "Le front: une réalité. Démarrage effectif de la campagne"
    • n°5, 2-8 novembre 1972, "Les gaullistes se paniquent: c'est bon signe, camarades! le Front national hors la loi?"
    • n°6, 9-15 novembre 1972, "Nous sommes peut-être les seuls, mais nous ne sommes pas du centre!"
    • n°7, 16-22 novembre 1972, "Mitterrand passera-t-il l'hiver?"
    • n°8, 23-29 novembre 1972, "Quand revient la saison des urnes..."
    • n°9, 30 novembre-6 décembre 1972, "Nous ne voulons pas de cette 'détente'!"
    • n°10, 6 décembre 1972, "Mitterrand, Marchais et compagnie risquent-ils de gagner?" (supplément au n°16 de Pour un Ordre nouveau)
    • n°11, 14-20 décembre 1972, "Le commencement de la sagesse" (devient Pour un Ordre nouveau - Hebdo)
    • n°12, 21-27 décembre 1972, "Une majorité pas tranquille"
    • n°13, 28 décembre 1972-3 janvier 1973, "Élections: le nouvel atout de Mitterrand"
    • n°14, 4-10 janvier 1973, "Expliquez-vous donc, Pompidou!"
    • n°15, 12-18 janvier 1973. "Où Pompidou nous mène-t-il?"
    • n°16, 18-24 janvier 1973 "Et maintenant..."
    • n°17, 25-31 janvier 1973, "Et après?"
    • n°18, 1-8 février 1973, "L'homme neuf"
    • n°19, non trouvé
    • n°20, 26 avril 1973, "L'État à la dérive"
    • n°21, non trouvé
    • n°22, 3 mai 1973, "À quoi sert Ordre nouveau"
    • n°23, 10 mai 1973, spécial congrès
    • n°24, 16 mai 1973 "Qui a peur de Druon... ...et de Galley?"[11]
    • n°25, 14 juin 1973, spécial meeting "Halte à l'immigration sauvage!"
    • n°26, 21 juin 1973, "Le véritable ennemi" (Ordre nouveau - Hebdo)


  1. Issue d'une Union des Lycéens de Paris (ULP).
  2. 2,0, 2,1 et 2,2 Source: Nicolas Lebourg, Jonathan Preda, Joseph Beauregard, Aux racines du FN. L'histoire du mouvement Ordre nouveau, Fondation Jean-Jaurès, 2014.
  3. En tant qu tel, le Front national des rapatriés (FNR) du général Edmond Jouhaud refuse en revanche de s'y associer. Refus identiques pour le général Raoul Salan et Jacques Soustelle (président du Mouvement National Progrès et Liberté).
  4. Le mouvement d'extrême droite avait initialement programmé sa propre manifestation pour le 4 mai 1971.
  5. La liste conduite par Henri Ravisse (CNIP en 1977) à Calais (17,62% des suffrages exprimés) est revendiquée par Ordre nouveau en lui attribuant 22% des voix. Dans son ouvrage sur Les mouvements d'extrême droite en France depuis 1944 (Albatros, 1972), François Duprat écrit également qu'elle est "animée par Ordre Nouveau".
  6. Cercle d'Études, de Relations Publiques Économiques et Sociales (CERPES) de Bernard(-Henri) Lejeune.
  7. 0,25% pour un autre candidat d'extrême droite, Michel Olagnon (Mouvement Jeunes Révolution).
  8. Emmanuel Allot (dit François Brigneau), Jacques Charasse, Louis Ecorcheville, Claude Joubert et Hugues Leclère sont également alors membres du bureau politique d'Ordre Nouveau (ON) selon Joseph Algazy, L'extrême-droite en France de 1965 à 1984, L'Harmattan, 1989.
  9. Source: Serge Dumont, Joseph Lorien, Karl Criton, Le Système Le Pen, EPO , 1985.
  10. Dans la rue, la salle prévue pour le meeting (le cinéma Saint-Lambert à Paris 15e) ayant été détruite par une explosion.
  11. Numéroté par erreur "n°23".


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